[RP] Cérémonie d'allégeance à Pinolebouru

[i]Un homme portant les couleurs du comte JJ s'avança aupres du héraut. Le vieux comte était malade et ne pouvait point venir en personne a l'allégeance. L'homme donna donc une missive au héraut.

Citation :

Par la présente,
Nous, Jeanjacob de Gilraen, Comte de Hoorn, Baron de Veurne, Seigneur d'Azé et Seigneur de Dissé Sous le Lude, prêtons allégeance aux terres de Flandres et à sa grandeur le Comte des Flandres, qu' Aristote le garde.
Nous défendrons ces terres avec armes et sang et nous conseillerons son Comte avec encre et parole.
Nous lui jurons obsequium, auxilium et consilium.

Qu'Aristote benisse et protège les Flandres et son Comte.

Faict a Veurne
Le 7juillet 1458

Jeanjacob de Gilraen

Le Maréchal d'armes observait la noblesse flamande en bon ordre venir tour à tour faire allégeance à la couronne flamande et hommage au régnant, régnant qui semblait quelques peu fatigué...Silencieux, se contentant d'observer, d'écouter et de noter les allégeances, il ne manquait pas non plus de vérifier les allégeances par courrier qui parfois arrivaient :

Citation :

Au comte des Flandres Pino van Westmalle,

Je tiens tout d'abord te féliciter pour ton élection au poste de comte.

Nous Cesear d'Arnèke Baron d'Estaimbourg, seigneur d'Arnèke et de Mons en Baroeul, porte allégeance au comte Pino van Westmalle, pour qu'il réussisse dans sa tâche. Nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Cesear d'Arnèke le 20 juin 1458, à Bertincourt

Deux fois, on ne peut pas considérer ça comme une habitude. C'est donc avec la même fierté qu'il s'est présenté une nouvelle fois aux portes du Château de Bruges, accompagné de l'inamovible Emma, et qu'il s'était dirigé vers la salle d'allégeance.

Deux mois avaient passé depuis cette première fois où il avait porté la missive de sa mère au Comte de l'époque. En un mandat, certains grandissent de deux, voire trois ans... Lui, il ne savait pas le pouvoir du temps sur lui. Il avait sans aucun doute vieilli, comme tout le monde, mais il laissait à sa mère le soin de tenir son "carnet de santé" jusqu'à sa majorité, hein? Tout ce dont il était sûr, c'était qu'il avait pris quelques pouces et quelques livres de plus, et qu'il était plus fort qu'avant! Il n'avait toujours pas de véritable épée qui pendait à sa hanche, mais son amie Mélusine lui en avait promis une, et il fallait qu'il lui rappelle cette promesse tiens.

Et c'est avec la vision de ses futurs exploits chevaleresques qu'il pénétra dans la salle, cherchant tout d'abord des yeux sa grand-mère, des fois qu'elle serait présente. Mais point de Mormynette pour égayer son visage d'un sourire, alors il se dirigea vers le trône comtal, légèrement intimidé mais ça, il ne le reconnaîtra jamais. Et tendit la missive scellé à celui qui devait être le Comte.

C'est de la part de ma maman qui est pas là...

Citation :

Fait en le campement de l'Ecu Vert, au Mans, le 17ème jour du mois de juillet 1458,

De nous, Cyrielle d'Arduilet-Saint Ange,
A vous, Messire Pino van Westmalle, élu Comte de nos belles Flandres par les urnes,

Salutations.

Etant encore une fois tenue éloignée des Flandres par devoir, je vous prie de m'excuser pour ne pas vous prêter moi-même allégeance pour mes terres vicomtales de Roubaix, et vous mande mon fils Gaïlen qui, je n'en doute pas, arrivera à temps avec cette missive...

Veuillez recevoir ce jour l'assurance que je vous apporterai l'auxilium, l'obsequium et le consilium, l'aide, le respect et les conseils dont vous pourriez avoir besoin.

Sachez que si un conflit venait à vous opposer, vous, Pino van Westmalle, Comte des Flandres, à notre Souverain, Levan le troisième du nom, nous prendrions fait et cause pour lui
Sachez cependant que si un conflit vous opposait à un tiers, et autre que notre Souverain, nous prendrions fait et cause pour vous.

En vous souhaitant un mandat florissant,
Mes respects

Cyrielle d'Arduilet Saint-Ange

Il fit un grand sourire a l'assemblée... son sourire parfais des grandes occasions, assortit ce coups ci a son habit blanc aux couleurs des Flandres.

La première fut la vicomtesse d'Harlegnan. La belle blonde s'avança devant lui accompagnée de son fils.

Nous, Rosa d'Harlegnan Vicomtesse de Lannoy de la Motte au Bois et de Poperinge et Balthasar Maximilien Kremroat d'Harlegnan, fils de son défunt père et Héritier, jurons obsequium, auxilium, consilium à Votre Grandeur et à notre magnifique Comté des Flandres. Que Sainte-Illinda vous ait en sa bonne garde.

Il resta un moment sans bouger. Les yeux glissèrent dans son decolleté, s'y attardèrent quelques instant, avant de reprendre ses esprits. 
Pino se leva de son trône. N'ayant participer qu'a quelques cérémonie d'allégeance, il ne savait pas trop ce qu'il devait faire. Il était pourtant rester toute une après midi accompagné des plus éminents spécialistes chargés de lui inculquer les us est coutumes. Mais la jeune femme qui accompagnait les éminents personnages avait su d'une simple paire de seins, lui enlever toute envie d'apprendre les préceptes et les base du protocole flamand.

Il s'avance donc devant la vicomtesse, qu'il fit se relever. subrepticement, il souffla dans ses main pour sentir son haleine, qui ne semblait pas trop chargée.  Juste un soupçon de reste de blanche de Bruges, mais il savai que cela ne dérangerait pas la vicomtesse. 

La suite alla très vite, se rappelant de sa dernière cérémonie, Pino attrapa la vicomtesse par la taille et posa ses lèvres sur les siennes.
  
Rosa d'Harlegnan, Vicomtesse de Lannoy, de la Motte-au-Bois et de Poperinge, par ce baiser, je vous promet assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Il fit un petit sourire a Balthasar qui ressemblais de plus en plus a son père. Il posa un main sur sa tête et fit une rapide croix a l'aide de son pouce sur son frond.

Qu'aristote soit toujours présent a tes cotes, le faon... Et qu'un jour tu puisse faire la fierté de tes parents. 

Il retourna s'assoir, attendant la suivante.  La comtesse mormynette se présenta devant lui. La sitution était un peu étrange pour lui. La comtesse... Celle qui l'avait toujours bien guider, depuis trois ans maintenant. Il l'avait toujours admirer, pour son travail, son abnégation et ses formes aussi...  Elle aussi se pencha... Qu'avaient elles toutes avec leur decolleté plongeants. Inconsciement, le regard de Pino glissa a nouveau, s'attardant quelques instant. 

Moi, Mormynette de Saint-Ange, Comtesse de Hazebrouck par la grâce de mon époux Charles de Saint-Ange, Baronne de Wattrelos par la grâce de mon époux Charles de Saint-Ange , Baronne de Courtrai, Dame de Zoutenaaie par la grâce de mon époux Charles de Saint-Ange, Dame d'Irchonweltz.

Jure en mon nom comme en celui de mon époux, de toujours servir les Flandres, si chères à notre coeur et que vous représentez, de vous conseiller en toutes choses si, vous en émettiez le souhait et de vous protéger vous, comme ce Comté de notre épée.

Nous vous assurons par là, de notre fidélité.

Puissiez vous trouver dans l'obsequium, l'auxilium et le consilium, le conseil, le soutien et la fidélité qui vous seront nécessaires pour mener à bien votre mandat.

En retour nous espérons que vous voudrez bien nous accorder protection et justice pour nous, nos enfants, terres et gens.

Une longue allegence... Pino eu bien le temps de profiter. Il veilla toute fois a ne pas baver, ni laisser parfaite le moindre signe de déstabilisation. 

Il s'avanca, releva la comtesse. D'un geste, il l'attira a lui, et posa ses lèvres sur les siennes. C'était plutôt agréable, il aurait bien prolonger le baiser quelques temps. Mais trop de témoins...
Et puis pas sur que la comtesse aprecie.

Machinalement, il répéta. 

Mormynette de Saint-Ange,  Comtesse de Hazebrouck, Baronne de Wattrelos, Baronne de Courtrai, Dame de Zoutenaaie, Dame d'Irchonweltz., par ce baiser, je vous promet assistance,
justice et protection, a vous ainsi qu'a votre mari et vos enfants, vos gens et pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Il fit un grand sourire a Mormynette puis alla se rassoirt. 

Le suivant, Ascalion, n'avait pas de décolté plongeant... Heureusement pensa Pino, réprimant un petit sourire tandis que le seigneur faisait son allegence.

 
Moi, Ascalion, Seigneur de Steenbecques, vous reconnais comme Comte des Flandres légitime et vous prêtes allégeance.
Je vous promet, durant toute la durée de votre règne, Aide, Conseils et Respect.

Puisse Aristote vous guider aussi longtemps que possible.

Il s'avanca vers lui, le releva... Hésita un long moment... Puis... Brusquement, il posa subrepticement ses lèvres sur les siennes. 

Brrr désagréable sensation... Tout ces poils...

Ascalion, seigneur de Steenbecques par ce baiser, je vous promet assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Il alla se rassoir, un peu déstabilisé... Attendant la suivante. Et quelle suivante. Enfin... Il allait pouvoir se venger. Il glissa la main dans sa poche, et sorti une gousse d'ail, qu'il gardait exprès pour la vicomtesse de Menin. 

Biensur, il ne manqua pas de laisser son regard se poser sur ses formes tandis que celle ci faisait son allegence, une nouvelle fois, le col bien ouvert sur une naissance de poitrine généreuse.

Moi, Adrienne de Hoegaarden, Vicomtesse de Menin, Dame de Gavre et de Vinderhoute, jure devant Aristote et les hommes présents ce jour, aide, conseil, fidélité et allégeance à Son Infinissime Grandeur Pino dict le bourru, légitime Comte de Flandres et à travers lui à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan le troisième. Je jure de servir au mieux les intérêts des Flandres et d'apporter mon aide au conseil comtal.

Je place entre les mains du Comte Pino dict le Bourru mes terres de Menin et de Gavre et renouvelle mon allégeance en tant que fidèle vassale.

Qu’Aristote et Sainte Illinda m’en soient témoins.

Croc croc croc... La gousse d'ail croquait sous la dent. Il s'avanca vers elle... Dans un geste theatrale, il la revessa, lui envoya voller se couronne qui roula sous les banc un peu plus loin et lui colla un patin de grande classe, en profitant pour la décoiffer. 

Il la redressa en lui souriant.   

Adrienne de Hoegaarden, vicomtesse de Menin, Dame de Gavre et de Vinderhoute, par ce baiser, je vous promet assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Il lui fit un petit clin d'œuil et alla se rassoit, sans faire attention au sivant... L'enfant terrible des Flandres. Le baron noir s'avanca a son tour. 

Pino entendit des gens pouffer dans l'assistance.

Moi, le Général Slamjack, Seigneur de Lys-Lez-Lannoy, Baron de Renaix, reconnait en vous le Souverain du Comté de Flandres et, à ce titre, vous jure fidélité, conseil et soutien armé.

Que Sa Grandeur Pinolebourru van Westmalle, Comte des Flandres, soit avisée que je m'exprime également au nom du Haut Commandement des Forces Spéciales Flamandes, dont les armes restent au service de la Nation, en ces temps particulièrement troubles.

Se levant une nouvelle fois, Pino se tenait devant le baron... Il hésitait, laissant de long blanc. Le releva, et rapidement, comme pour éviter que cela ne s'éternise, Pino déposa ses lèvres sur les siennes. Une légère odeur le pris par les trippes. Le comte ne savait pas si cette odeur emanait du barron ou de lui meme.


Slamjack, seigneur de lys-lez-lannoy, Baron de Renaix, par ce baiser, je vous promet assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté. 

Il retourna a sa place, s'essyant les lèvres du revers de la manche.

Vient ensuite la dame de Paradis, présentant l'allegence de sa suzeraine. Malheureusement, il n'eu pas l'occasion de lui donner le baiser. Ce qui était dommage dans un sens, mais heureux, vu l'odeur qui sortait de la bouche du jeune anversois a présent. 

Tandis que la prochaine personne se préparait a prêter allegence, Pino reconnu un de ces proffesseurs qui avait passer une après-midi a essayer de lui expliquer les us des Flandres. 

La personne s'approcha de lui et lui glissa a l'oreille 

Votre grandeur... Le baiser d'allegence ne se fait plus depuis fort longtemps. L'accolade est même devenue facultative...

D'un coup, un lourd poid s'envola des épaules de Pino... Non pas que il avait trouver ces baiser desagreables.  Enfin... Dans certains cas. Mais il lui restait encore des Ascalon, Wugallix, Ali,...

Un rien soulagé, c'est tout sourir que Pino accueilli le suivant, le comte ascalon. 

Nous, Ascalon Breydel, Comte de Sint Winoksbergen, Seigneur de Temse et de Cazaux, prêtons allégeance à Sa Grandeur le Comte des Flandres, Pino dict Le Bourru pour nos gens et nos terres de Sint Winoksbergen et de Temse.

Nous jurons auxilium, obsequium et consilium pour nos terres flamandes et prions pour qu’Aristote, dans sa grandeur, vous garde et vous bénisse pour toute la durée de votre règne.

Il le fit se relever et le pris dans ses bras.  

Ascalon Breydel, Comte de Sint Winoksbergen, Seigneur de Temse et de Cazaux, par cette accolade, je vous promet assistance,
justice et protection, a vous ainsi qu'a votre femme et vos enfants, vos gens et pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Vient ensuite le baron de Loos

Moi, Whitechief, Baron de Loos, Seigneur d'Ibigny, renouvelle mon allégeance aux Flandres et à son Comte.
Je jure Obsequium, Auxilium et Consilium pour le bien des terres flamandes.

Il le fit se relever et le pris dans ses bras.  

Whitechief, Baron de Loos, Seigneur d'Ibigny, par cette accolade, je vous promet assistance,
justice et protection, a vous ainsi qu'a votre femme, vos gens et pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

S'en vient ensuite Alienaire, son viel amis, un peu absent ces temps ci. Mais qu'il était heureux de revoir. 

Nous, Alineaire Seigneur d'Espierres, prêtons allégeance à Sa Grandeur le Comte des Flandres, Pino dict Le Bourru pour nos gens.

Nous jurons auxilium, obsequium et consilium pour nos terres flamandes et prions pour qu’Aristote, dans sa grandeur, vous garde et vous bénisse pour toute la durée de votre règne que nous espérions profitable et radieux.

Il le pris lui aussi dans ses bras. 
 
Alineaire Seigneur d'Espierres par cette accolade, je vous promet assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Suiverent enfin le patriarche de la famille Clairambault, et la dame de Ciply. 

Que Sa Grandeur Pino van Westmalle soit assurée que moi, Wuggalix de Clairambault, Comte de Valenciennes & Seigneur d'Eclaibes, lui preste allégeance en ce jour et jusqu'au dernier de son règne sur les grandes Flandres.

Ainsi, je vous jure aide, conseil & fidélité.
Tant que vostre voix guidera les Flandres dans le meilleur chemin qui soit, et tant que celui-ci sera en accord avec les intérets flamands, royaux, et romains... Vous pouvez compter sur la fermeté de mon soutien.

Après l'avoir pris dans ses bras, pino le laissa reculer un peu

Wuggalix de Clairambault, Comte de Valenciennes & Seigneur d'Eclaibes, par cette accolade, je vous promet assistance,
justice et protection, a vous ainsi qu'a vos enfants, vos gens et pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Au tour de Xiang. 

Moi, Xiangying, Dame de Ciply, je prête allégeance au comte Pino van Westmalle
Je jures auxilium, obsequium et consilium Je pries pour qu’Aristote et Sainte Illinda, dans sa grandeur, vous garde et vous bénisse pour toute la durée de votre règne. 

Xiangying, Dame de Ciply, par cette accolade, je vous promet assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Il alla une nouvelle fois s'assoir. Le genoux en compote a force de se lever et de s'assoir a nouveau a chaque passage. 

Il repira un grand coup et attendis la suite, forçant un peu plus le sourire qu'au départ. 

La salle du château grouillait de nobliaux et belles dames , tous bruissants de soie et dentelles , s'étant spécialement déplacés pour rendre allégeance au nouveau comte des Flandres.

Lorsque vint son tour , Telya s'approcha du trône , un sourire aux lèvres.
Cette allégeance était pour elle assez particulière.
Il s'agissait de Pino , un Anversois , comme elle et de plus , elle lui avait fait une promesse qu'elle comptait bien tenir.

Vêtue avec élégance , d'une robe de soie bleue , qui s'harmonisait avec la couleur de ses yeux , les cheveux élégamment relevés, ornés de perles fines , elle plongea dans une révérence , dévoilant le globe laiteux de ses seins plus que la décence ne pouvait le permettre .
D'une main elle retint le haut de sa robe , ayant peur que l'un d'eux ne sortent de son écrin.

Elle se releva et avant de parler , fit un léger sourire complice au comte Pino.

A Sa Grandeur Pino dict le bourru, Comte des Flandres , reconnu par Sa Majesté Lévan le Troisième,

Nous, Telya et Geoffroy d'Harlegnan faisons ce jour ,notre prime allégeance aux Flandres pour nos terres d'Oostende , d'ingelmuster et St Nicolas, d'Hulst et Caestre.

Faisons hommage à vous, Pino, Comte des Flandres, et vous reconnaissons comme Comte élu des Flandres.

Promettons aux Flandres et sa couronne de les servir comme nous l'avons toujours fait, avec loyauté, respect, fidélité et honneur.

Promettons aux Flandres et à sa couronne de remplir nos devoirs de vassaux et de leur apporter conseils et avis.

Promettons que si un conflit venait à vous opposer vous, Pino, Comte des Flandres, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

Que si un conflit venait vous opposer vous,Pino, Comte des Flandres, , à un tiers du Royaume François, nous jurons que nous prendrions cause pour vous et que notre vie et notre épée seront vôtre


Puisse le Très Hauct vous guider durant toute la durée de votre règne et veiller sur les Flandres.
[hrp : je suis en vacances , pas beaucoup de temps et pas d'ordi
je n'ai plus les codes pour le chateau

LJD Telya]

Moi, Duncan de Clairambault, Seigneur de Bourbourg, vous prête, en mon nom, allégeance et vous reconnais comme Comte légitime de Flandres.
Je vous promet Aide, Conseils et Respect durant toute la durée de votre règne.

Qu'Aristote vous guide lors de vos choix.

Il enchaina.


En tant que Colonel des Forces Spéciales Flamandes, je vous prête allégeance et met mon épée à votre service durant toute la durée de votre mandat.
A chaque instant, vous pourrez compter sur les Forces Spéciales Flamandes pour défendre le Comté contre toute menace.


Il se leva et le pris dans ses bras.
Duncan de Clairambault, Seigneur de Bourbourg, par cette accolade, je vous promet assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.


Il se retourna et regagna son trône.


Assis, las... soupira en silence. La longueur de ces cérémonies l'exaspérait. Il jeta un rapide coups d'oeuil par la fenêtre. Le soleil était radieux et on voyait au loin des enfant jouer dans les champs de blé qui dansaient au fil du vent. Pino se mis a rêver, s'évader dans un coin de sa tête... s'imaginant courir nu dans un camps main dans la main avec une jolie inconnue. Un sourire niais se dessinait sur ses lèvres.

Il fut sorti de ses songes par un jeune homme qui devait avoir 5 ans.

L'impétuosité et l'audace du garçon le fit sourire.

Eh, monsieur le Comte ! Et ma maman dans tout ça hein?

Un sourire au coin des lèvres, Pino lui passa la main dans les cheveux.

Donnez moi donc cette lettre petit ange. J'y accorderai la plus grande attention.

Sachez que votre mère pourra compter sur mon assistance, je lui promets justice et protection pour ses terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes qu'elle représente
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.

Je lui promets que sa famille sera sous ma protection tout au long de mon regne et que son fils aurra même droit a une attention toute particulière.

En souriant, il posa a nouveau sa main sur la tête du jeune homme et du pouce il dessina une croix sur son front. Ils attendirent tout deux la suite des allegences. Pino gardant le petit saint ange sur ses genoux.

Quand il vit la suivante, le jeune comte se demandait si il avait eu une bonne idée de garder le garçon sur ses genoux.

Mais bon, cela ne faisait sans doute pas très longtemps que Gailen avait quitté le sein, et s'il devait devenir un jour un vrai flamand, autant qu'il commence a voir des belles poitrines des maintenant.

Une bière! Il lui faut une bière a ce gamin. Voilà ce qui aurait été de paire... avec le généreux décolleté de la comtesse.

Vient le moment ou Pino du se lever. Il pris le gamin dans ses bras et le déposa seul sur le trône. Il s'avanca vers Teyla et la sera fort contre lui. Profitant de cet instant toujours agréable ou la poitrine de la comtesse se colla au torse du comte.

Telya d'Harlegnan par cette accolade, je vous promets assistance,
justice et protection pour vos terres et tant que mon règne durera.
Puisse le très haut protéger les hommes et les femmes que vous représentez
et les guider dans leur volonté sincères d'œuvrer pour notre comté.


Il retourna sur son trône. Reprit le jeune Gailen sur ses genoux et attendit la suite.

Citation :

Par la présente, nous,

Phillibert d'Harlegnan, dict Phillau, Seigneur d'Ypres, déclarons reconnaître sa grandeur Pino comme représentent du pouvoir de nostre bon Roy Lévan le troisième de Normandie sur les terres de Flandres.

Nous lui promettons l'obséqium, l'auxilium et le consilium dès lors qu'il dirigera les bonnes terres de Flandres dans la voie de la grandeur dans le respect de l'autorité de nostre Roy et dans la Foy de nostre Seigneur,

Nous jurons de mettre notre épée au service de sa volonté et sommes prêt à donner notre vie à sa demande.

Nous apposons nostre nom pour sceller ces paroles,


Faict en ce jour du 21 Juillet de l'an de grasce mil quatre cent cinquante huit, sous le règne de Lévan le troisième.

Le maréchal d'armes laissa le comte des Flandres et ses vassaux faire leurs derniers échanges, puis s'avança vers celui ci et lui dit :

Il est temps de clore la cérémonie. Lui tend les dernières lettres d'allégeances. Je vous laisse répondre aux courriers d'allégeance, et vous transmettrez dans les prochains jours la liste des nobles dérogeant pour que vous puissiez décider de leur sort.

Puis se tournant vers l'assemblée :

La cérémonie d'allégeance est maintenant close.