[RP] Bureau de l'aumonier

Après avoir lu le panneau « Bureau de l'aumonier », c’est en prenant vostre courage à deux mains que vous frappez vigoureusement à la lourde porte du bureau du chapelain. Etant donné l’épaisseur de chêne, vous vous doutez que vous n’entendrez pas le moindre son signalant une permission (ou un refus) pour pénétrer dans la pièce : vous poussez donc la porte !

Le père Henri quitte les yeux de son scriptorium où l’attend des dizaines
de manuscrit pour vous dévisager de haut en bas. Au bout d’un laps de temps relativement court, il se lève pour rejoindre son bureau puis vous invite à prendre place sur l’une des chaises.

Inquiet, vous vous exécutez tout en admirant la simplicité de la décoration : un fauteuil et deux chaises, un bureau, une bonne centaine de gros manuscrits reliés cuir, un scriptorium et enfin une tapisserie couleur pourpre représentant Saint-Benoît.

Le grand gaillard extrait une plume d’oie et un pot d’encre d’un tiroir puis saisit un parchemin vierge. C’est seulement une fois tout cela fait qu’il brise enfin le silence.

- Que puis-je pour vous ?

Le Lieutenant intérimaire de Gand passait devant le panneau « Bureau de l'aumônier ». Ses doigts fins lissaient quelques instants sa barbe roussie et toujours bien taillée, puis l'homme de belle stature prenait son courage à deux mains pour toquer doucement à la lourde porte du bureau du chapelain. Le bois semblait bien épais et solide et aucun son ne revenait en retour. Le commandeur hésitait encore quelques secondes avant d'entrer. Les gonds grinçaient très légèrement et le froid de novembre s'engouffrait dans son dos.

Ses yeux bleu mer démonté scrutaient la pièce avant de croiser le regard malicieux et intelligent du Père Henri. L'homme de foi avait quitté des yeux son scriptorium où l’attendait des dizaines de manuscrit pour dévisager de haut en bas le Maistre-Drapier. Sa chasuble bien ajustée, aux teintes d'Or, frappé du Lion des Flandres sur le poitraille, un pantalon en peau de bête retourné pour atténuer les coups, l'officier refermait la porte derrière lui. Au bout d’un laps de temps relativement court dans ce nez à nez jaugeant et jaugeur, le religieux se lèvait pour rejoindre son bureau puis invitait le militaire à prendre place sur l’une des chaises.

Inquiet et hésitant, le tournaisien s'exécutait tout en admirant la simplicité de la décoration : un fauteuil et deux chaises, un bureau, une bonne centaine de gros manuscrits reliés cuir, un scriptorium et enfin une tapisserie couleur pourpre représentant Saint-Benoît. Son regard méticuleux et précis, quoique impressionné, par l'homme face à lui, volait sur les détails de la pièce sobre et chaleureuse.

Le grand gaillard extrayait une plume d’oie et un pot d’encre d’un tiroir puis saisissait un parchemin vierge. Le silence régnait et aucun des deux n'avait l'air décidé à le briser. Le barbu, aux cheveux chatain-clair, hésitait encore à prendre l'initiative, se mordillant légèrement l'intérieur de la lèvre, se posant bien trop de question.

- Que puis-je pour vous ?

Le flamand sursautait à peine, bredouillant maladroitement dans sa barbe à la question:....ah euh ja... wel ... Goeden Dag... Vader Henri....Ses doigts fins revenaient inlassablement et calmement vers la foret ordonnée qui sillonait sa machoire, comme un réflexe naturel qui lui permettait de remettre en ordre ses idées. Ses lèvres s'étiraient lentement en un sourire faible, ses yeux bleu mer démonté fixait le curé avec une intensité toute posée. Le commandeur entamait:

Voilà, je ne pensais pas, forcément, venir vous voir pour cette requête privé, mais comme je passais devant l'écriteau, je me suis dit pourquoi pas...

Se frottant doucement les paumes de mains entre elle, dans un bruit de froissement sec, ses coudes rejoignaient ses genoux, amenant tout son buste en avant. Sa voix diminuait légèrement de tonalité, l'instant avait des airs de confessions discrètes.

je recherche mon certificat de baptême et de mariage. J'en ai malheureusement égaré les copies en revenant de Tulle, il y a plus d'un an et demi, et comme ces deux sacrements ont eu lieu là bas, que la Diaconnesse de l'époque est décédée, j'avoue être perdu sur la façon de m'y prendre et je viens chercher auprés de vous, aides et conseils.

Le grand gaillard travaillait sur une enluminure dont le degré de complexité avait légèrement dépassé ses compétences. Un léger courant d’air à glacer le sang l’arrêta dans sa contemplation des feuilles d’or qu’il était sur le point de travailler. Levant les yeux de son scriptorium, il se rendit compte qu’un soldat venait de rentrer, plus précisément un lieutenant. Son chasuble aux fils d’Or en disait déjà loin sur sa
condition …

Le père se leva lentement et prit place derrière son bureau en invitant le Maistre-Drapier à faire de même. Si le silence commençait à devenir véritablement besoin, le grand gaillard prit soigneusement le temps de sortir ses affaires et de quoi prendre quelques notes : pour la mémoire certainement !

Lorsqu’enfin le calme fut rompu, le frère ne s’attendait visiblement pas qu’on s’adresse à lui dans une langue qu’il ne maitrisait pas. S’il comprenait aisément sa signification de part ses origines germaniques, il ne s’autorisa pas à lui répondre en Néerlandais mais en Allemand.

- Guten tag mein sohn

Vous avez frappé à la bonne porte … Qui est d’ailleurs toujours ouverte !
Il est convient de bien mettre à l’abri tous les certificats fournis par l’EA … Mais les perdre peut arriver. Dans ce cas vous devez contacter, normalement, le diacre ayant officié la cérémonie. Si ce dernier est décédé et qu’il a correctement fait son travail, il a du laisser un registre des sacrements qu’il a officié. Ce dernier doit se trouver dans l’évêché ou l’archevêché dont dépend la paroisse de Tulle.

Le grand gaillard se leva de sa place et attrapa un vieux parchemin sur lequel était représenté une carte du Royaume.

- Tulle … Tulle … Evêché de Limoges … Vous tombez fort mal mon fils, Monseigneur Mytia de Béarn nous a quitté il y a peu de temps. Son enterrement a d’ailleurs lieu à la Basilique Saint Titus ... En tant que père Grégorien, je la connaissais puisqu’elle était mère grégorienne. Or pour le moment aucun évêque n’a été nommé. Le recteur de nostre Ordre a postulé pour ce poste.
Je vous propose d’attendre pour savoir qui sera nommé … C’est cette personne que vous devrez contacter. Je vous tiendrais informer si vous le souhaitez.

Astrid remercia la multi vicomtesse de lui avoir fait visiter le château et indiqué son futur bureau.

Elle fut touchée de constater qu'elle était attendue. Tout en souriant à Blanche elle mit pied à terre et attacha son cheval.

Le Bon zour ma soeur, me voilà enfin arrivée.................... oh des fleurs! ....... quelle délicate attention................porte sa main à son coeur......... il ne fallait pas. Ze n'ai pas l'intention de prendre trop de place.

Disant ceci, elle disposait ses affaires sur le bureau tout en continuant à parler. C'est que Astrid quand elle bosse elle ne le fait pas à moitié.

Pour ma part ze souhaite rencontrer sacun des membres de l'Ost en privé pour me présenter et leur expliquer quel est mon rôle et les écouter. Ma fonction étant en grande partie d'écouter les autres..........Et vous auriez vous des consignes à me donner? des demandes urzentes?

Le capitaine entra dans le bureau reservé à l aumonier qui enfin avait ete depoussiere. Saluant le major Blanche il se tourna vers la nouvelle aumoniere.

Ha ! Vous voila aumoniere Astrid ! Un grand bienvenu parmis nous, voila trop longtemps que notre chapelle etait innocupée et en tant que fidele aristolecien je le deplorais.

Je me presentes meme si nous nous sommes deja croisé, Lord dams de Tarentes, capitaine des Flandres, commandeur de l armée comtale et lieutenant du bataillon de Dunkerque.

Je ne puis malheureusement pas rester ce soir car la croisade va me prendre la journée mais je reviendrais tres vite vous voir, sachez que ma porte sera toujours ouverte pour vous accompagner dans votre office.

Se tournant vers le Major

Major j ai vu votre annonce, merci d en assurer le suivi et de valider la presence de tous ici pour saluer et echanger avec notre aumoniere !

Fatal s'empressa de rentrer après avoir enfin reçu les clés.
Bonjour bonjour. Je suis le caporal Fatal de Tournai. Je sais, on ne s'est jamais vu. Je ne traîne jamais les tavernes. Bienvenue à vous, prenez vos aises.

La diaconesse assura à Blanche qu'elle dirait une messe spécialement dédiée aux soldats, avant qu'elle n'ai pu demander la date du dit départ ou du moins le délais qu'il lui restait à préparer son office, voilà la Dame partie rassembler les troupes............Astrid sourit en voyant autant d'efficacité.

Il est prompt à se présenter le Capitaine Lord_dams. Elle l'écoute attentivement, l'homme est pressé, il a du travail, elle l'a croisé et qui plus est il lui dit dans sa présentation qu'il est baptisé............. Astrid comprend bien que la préparation d'une telle mission doit demander beaucoup de soin.

Ce fut un plaisir de vous revoir Capitaine, ze ne vous retiens pas, comprenant que vostre temps est précieux ce zour.

Arf, il est si rapide qu'elle en oublie de le questionner sur la date butoir de la messe. Tout en jurant elle prend un parchemin et note de sa fine écriture.

Citation :

Messe d'avant le départ en croisade :
- Questionner sur la date prévue
- Visiter la chapelle
- Faire l'inventaire : vin de messe, pain, encens, bougies
- Trouver deux volontaires pour servir la messe ou demander une autorisation d'entrer pour les deux Mac Ouille.
- Se faire inviter en taverne
- Se faire inviter au mess des officier et/ou se faire apporter ripaille

Si d'aucun pense que la fin de cette liste n'a rien d'indispensable, il doit savoir que la petite diaconesse du haut de ses 1.45cm et ses trente kilos mine de rien s'envoie largement de quoi nourrir un bataillon chaque jour, elle n'est pas vraiment portée sur la boisson, mais je crache jamais sur un met délicat ou pas.....


Bien qu'elle s'attende à voir entrer quelqu'un Astrid ne put s'empêcher de sursauter à l'entrée du nouveau venu.

Bonjour bonjour. Je suis le caporal Fatal de Tournai. Je sais, on ne s'est jamais vu. Je ne traîne jamais les tavernes. Bienvenue à vous, prenez vos aises.

Bien, moi ze suis Astrid la diaconesse de Tournai, nous somme donc voisn de domicile.........ravie de vous rencontrer. A vrai dire vous ne m'êtes pas inconnu ze vous ai vu vous battre au tournois.


Voyant sa liste...........

Ah au fait ....tiens vous pourriez éclairer ma lanterne, savez vous quel zour est prévu la messe?....... Mais bon z'ayes comme l'impression que tout le monde est très pris ce zour et loin de moi de vouloir foutre le bor.......la m...enfin vous voyez.

Est ce que vous êtes baptisé, mon frère. Ne vous formalisez pas, il faudra vous habituer à ce que ze vous nome mon frère ze n'ai zamais été bien à l'aise avec les titre adonc, avec les grades .........fait voletter sa main au dessus de sa tête, pour faire comprendre que son cas est désespéré.

Bien que pas très croyant, le caporal Boby se présente à la nouvelle aumônière de la caserne

Bonjour, je me présente je suis le caporal Boby de Dunkerque

Après cette présenté, Boby s'installe dans un coin de la pièce et observe en silence la scène qui ce passe devant lui

Une seconde, la diaconesse faillit sauter par dessus son bureau et envoyer au sol l'impudent. Il ne sait peut être pas que la jeune fille est de très noble famille, d'ailleurs elle n'en fait pas étalage......... Élevée à Attigny elle a eu les meilleurs maîtres d'armes, surtout un vieil oriental qui lui a appris des techniques de défenses basées sur la surprise, la rapidité, la souplesse mais surtout à inverser la force de son adversaire........

Chose aussi incongrue que l'appétit de notre poids plume, les sons qui peuvent sortir de cette petite carcasse. La surprise passée, la diaconesse se fend d'un grand rire à faire pâlir toute un compagnie de troupiers.

Bravo! vous le faites bien mieux que ce bon vieux père Niczoachim, ze sais c'est contazieux mais évitez de vous foutre de ma tourloupidou sinon ze demande à ce qu'on vous coupe la langue................... repart à rire en se tenant le ventre........ soupire enfin le calme revenu l'heure est grave tout de même, ce pauvre bougre va partir combattre pour une chose qu'il ignore totalement.

Dites moi mon brave, si vous pensez que le baptême sert uniquement à s'épousailler adonc pourquoi partez vous aux croisades? Z'ose espérer que vous n'allez pas oter la vie d'un ou plusieurs hommes simplement pour vous amuser.

Astrid vit arriver une personne plus, une femme, tiens peut être qu'une femme aurait l'idée de lui apporter quelque chose à grignoter sinon son estomac allait finir par crier famine et ce serait bien inconfortable et dérangeant........... ouch! ils étaient déjà deux à attendre. Son vis à vis serait certainement content qu'elle écourte la conversation.

Ze pense que vous n'allez pas partir pour la croisade dans l'heure, adonc peut être nous verrons nous en taverne à Tournai Fatal, ze serai heureuse de converser avec vous. Quoi que, en taverne ze n'y vais pas forcément pour parler boulot, z'y vais plutôt pour me détendre!

Avant de laisser repartir l'homme à ses occupations elle lui dit bien haut pour que les deux suivants entendent bien.

Il est zuste de combattre des hérétiques, ce qui est inzuste à mon sens parce que z'en ai souffert, c'est qu'un humain n'ai pas droit à un enterrement en bonne et due forme s'il n'a pas reçu le sacrement du baptême...............

..........reste un quart de seconde songeuse le regard dans le vide avant de rajouter..................... Mais tout de même si par mal heur vous deviez laisser votre vie aux croisades, le fait que vous soyez croyant permettrai à vos amis et prosses de vous donner funérailles correctes.

Bien au suivant ou à la suivante c'est selon..................... lance la diaconesse, tout en notant le nom et surtout le grade du précédent.

Bonjour, Sergent Lorin !

Citation :

Je n'ai pas d'amis au sens propre. Bonne soirée à vous.

Bonne soirée caporal Fatal........................Le pauvre garçon il n'a pas d'amis, Astrid en était bien désolée, elle qui croyait que l'armée était une grande famille.

Bonjour, Sergent Lorin !

L'aumônier sursauta pour voir le sourire d'un grand gaillard

Le le bon zour serzent Lorin, bien ze vais vous poser la même question qu'aux autres quoi que z'ai oublié de leur demander s'ils ont famille ............... arf quelle tête de pipe ze fais!

Etes vous baptisé? et puis ben parlez moi un peu de vous et de votre famille, si vous en avez une, vous n'êtes pas à confesse tout de même, seulement nous faisons connaissance. Également vous pouvez me poser des questions si vous voulez en savoir plus sur moi.

Cette fois elle était tout à fait rassurée et souriait à son vis à vis.

Tout d'abord je suis baptisé, à Bruges, ma marraine est Maryse et mon parrain Guichard !
Ma famille n'est pas bien grande, et est surtout dispersée, mon frère est allé vivre en Bretagne, notre lieu de naissance, et ma petite soeur est en retraite pour le moment.
Voilà j'ai fait le tour de ma famille.
D'ailleurs quand j'aurai du temps j'aimerai bien aller le voir
Lorin continua en souriant...
Je ne suis pas marié, et cette chose ne risque pas d'arriver de si tôt !
Je vais faire aussi cette croisade.

Si vous avez d'autres questions, j'ai tout mon temps, je trouve ça même amusant.

Lorin l'a regardait en attendant la suite.

Astrid aurait voulu rester absolument sérieuse mais elle ne put s'empêcher de relever la tête et de montrer sa surprise. Un peu perdu dans cet endroit ou elle faisait ses premiers pas d'aumônier, les dires de l'homme avaient quelque chose de famillier.

Vraiment vous êtes le filleul de Soeur Maryse et son époux! C'est mon couple modèle, enfin ze connais peu messire Guissard, mais soeur Maryse oui très bien. Nous aurions pu nous voir quand ze suis allée à Bruzes en voyage avec mon promis!
Avec un tel exemple z'ai du mal à comprendre pourquoi vous dites que vous ne vous épousaillerai zamais, mais ceci ne me regarde pas.

Si vous avez d'autres questions, j'ai tout mon temps, je trouve ça même amusant.

Amusant vous y allez fort, on dira sympathique, à moins que ce soit mon seveux sur la langue qui vous amuse............ mais ça ze suis habituée!........ ze fais connaissance avec l'Ost. Z'ai besoin de vous connaître un peu tous pour dire une messe pas trop ennuyeuse.

Ze vois Nenou ............. on ne dira pas où elle a rencontré Nenou, ça ne regarde que les filles, mais elle la connaît.................qui s'impatiente adonc ze vous dit à bientôt. Ze viendrai ici saque zours et nous pourrons discuter plus longuement si vous le souhaitez ce sera avec plaisir Serzent Lorin.

C'est au tour de Nenou, qui arrive avec un panier. Astrid ne montre pas son empressement à voir le contenu et se retient tant bien que mal de soulever le torchon pour voir ce qu'il y a à l'intérieur. Elle rêve déjà d'un bon petit casse croûte entre deux soldats.
Bonjour Aumonière..............................Astrid se marre ............ Aumônière ça fait un peu sac à main, on dit ma soeur ou aumônier quoi que pour toi ça restera Astrid tout court.

[b]J'ai penser a vous ramener quelque petite chose pour vous accueillir ici comme il se doit.

Ah merci, ça c'est vraiment zentil, tiens ze me demande pourquoi ze suis même pas étonnée que ce soit une fille y ait pensé! Nous nous sommes dézà rencontrées adonc on se tutoie à moins que le règlement l'interdise?

Bien sinon, raconte moi un peu ta vie et ton parcours, dis donc tu en as des médailles................siffle.......... et puis ze suis très curieuse de savoir en quoi consiste le travail de sirurzien c'est comme médicastre ou bien il y a une différence?

Nenou sourit a Astrid et lui pose le panier.

Citation :

Ah merci, ça c'est vraiment zentil, tiens ze me demande pourquoi ze suis même pas étonnée que ce soit une fille y ait pensé! Nous nous sommes dézà rencontrées adonc on se tutoie à moins que le règlement l'interdise?

Il est vrai qu'il ne faut pas compter sur les garçons pour ce genre d'attention. En tout cas, je serais toujours la pour vous en apportez si tu en souhaites d'autre. Non, cela ne me dérange pas que tu me tutoie.

Nenou lui fait un clin d'oeil malicieux. Elle sourit a Astrid et répond a ses questions

Mon parcours, éh bien j'ai commencer a l'ost en tant que simple infirmière. J'ai été prise en formation par la chirurgienne Poupoule, paix à son âme. Une grande dame avec un cœur gros comme la monde. Elle m'a tout appris et je lui dois beaucoup. Elle me manque quelques fois. Puis elle est décéder des suites d'une "maladie", je ne me rappelle plus qu'elle était son mal. puis j'ai été nommé Chef infirmière de la caserne et depuis peu Chirurgienne. La différence entre ses deux postes c'est que la Chef infirmière est considérer comme un caporal et la chirurgienne est considérer comme un major.
Et il n'y a pas tellement de différence un médicastre et un chirurgien.

Nenou sourit a Astrid puis redevient un peu triste, elle arrive au moment ou elle doit parler de sa vie privée, et une boule se forme au creux de son ventre.

Ma vie , en ce moment je traverse une période assez difficile de ma vie privée, je suis très en colère contre mon compagnon.

Nenou ne sait pas quoi dire d'autre et attends les réactions d'Astrid avant de continuer.