05 Février 1457 : Mariage de Domy et du Capitaine Fabrizio

Invité

Flo qui avait du mal a quitter des yeux son tendre amour....entendit arriver Fabrizio et Domy ...

elle tourna la tête et vit le couple arriver dans la Cathédrale et fut émerveillée de la beauté de ce magnifique couple.

Flo les yeux brillants de joie et de bonheur murmura discrètement à son amour ...

Amour ,voit comme nos amis sont beaux et majestueux!

Je suis si heureuse de les voir enfin devant l'autel,ils ont tant attendu ce moment ...tu sais quoi amour...

je les envie un peu,il m'arrive de nous imaginer nous aussi à leur place...mais nous avons tant à faire avant...

Flo prit la main de Dahud et lui fit le plus beau sourire ,celui qu'il aime tant.

Dans la Cathédrale, près de l’autel décoré de quelques plantes colorées, sous le grand crucifix doré se tient l'Archevêque Bigornéa, vêtue de sa tenue de cérémonie

Accueillant les deux fiancés en affichant un grand sourire. Après avoir salué les futurs mariés d’un signe de tête, Bigornéa fit signe à l’assemblée, agitée par l’émotion, de faire silence, et commença la cérémonie par ces propos :

En ce jour béni et sous le regard de Dieu nous accueillons dans cette église deux âmes pures, aristotéliciennes et appréciées de tous qui souhaitent sceller leur amour et leur destin par les sacrements du mariage. Gloire au Seigneur source d’amour et de joie qui permet à ces deux êtres de se lier par delà le temps et par delà la matière, pour que cet amour qui les amène ici soit préservé même après la mort, pour les siècles et les siècles, amen.

Invité

Plum, après s'être moult fois trompé de routes, les voyages n'étant pas son fort avait finit par arrivée à Bruges, accompagné d'Atila sa fidèle bourrique. Il avait prit une chambre dans une petite auberge visiblement bien tenue et s'était fait propre pour ce mariage. Fallait montrer qu'il était tisserand quand même. arrivé en pas du parvis il regarda l'édifice et se dit que Bruges était décidément une bien belle ville possédant moult bijoux architecturaux.

Il pénétra donc, rendit hommage à Aristote et prit place sur un banc quelque peu à l'écart.

Cajoline arriva tranquillement pour assister au mariage, entra, s'assit sur un banc , et admira la beauté de la catédrale, jusqu'à ce que les futurs mariés arrivent, la cérémonie allait pouvoir commencer

Invité

Dahud entendit et sentit la main de flo dans la sienne et le sera encorre plus fort.
La regardant dans les yeux, il lui mumura doucement.
Oui ma gwerg, oui on a le temps et tellement de chose à faire. Tu sais le principal, c'est d'être en même temps.
Je les envie tu sais. Un temps viendra ou nous seront unis pour toujours.

Il regardat ses amis et les trouva tres beau et tres prestigieux.

j'ai eu raison de mettre mon nouveau kilt pour cette occasion ma gwerg, parceque ca le faut bien comme dirait dame Loreal.

la dessus il assaya de se concentrer sur le mariage, mais ses pensée divaguées faire son amour.

Sont ici devant vous et devant Dieu

Dame Domy d'Alaric .
Baptisé par Lenada, diaconesse de Chalon le 05 octobre de l'an de grâce 1456 en l'église de Chalon avec comme marraine Dame Frim

et
Le Capitaine Fabrizio de la Garde Episcopale du diocèse de Reims .
Baptisé par moi même le 11 octobre 1455 à Tournai avec comme Marraine par Cyleblue

Tous deux habitant de Dunkerque

Puis l'archevêque Bigornéa se tournant vers les futurs mariés :

Me confirmez vous ceci ?

Levant la teste vers elle à ses paroles, Fabrizio la regardant et puis d'une voix forte et clair s'écria.

Oui je le confirme.

Puis joignant les mains dans une prière muette , il attendit la réponse de Domy.

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Ayant repris l'assurance nécessaire ,Domy répondit:

"Je le confirme aussi"

Elle attendit la suite avec impatience et coula un regard en coin vers son compagnon impassible.

Mes Enfants

Ces deux personnes se sont rencontrés un soir du mois de Mars en Bourgogne à Tonnerre ou le Capitaine Fabrizio se dirigeait vers Genève afin d'y faire la croisade contre les hérétiques.
Ils souhaitent s'unir devant vous afin de fonder une vrai famille et d'avoir des enfants. Dame Domy souhaite seconder son mari tout au long du chemin qu'Aristote leur accordera de faire ensemble

N’oublions pas de remercier toutes les personnes qui viennent se joindre à cette heureuse cérémonie.

L'Archevêque Bigornéa enchaina par la lecture :

05 Février 1457 : Mariage de Domy et du Capitaine Fabrizio - Page 2 Livre

Citation :: Création VIII : La Décision
Toutes les autres créatures furent surprises de cette décision de Dieu de faire des humains Ses enfants. Elles ne comprenaient pas ce qu’était l’amour et ne pouvaient concevoir que le Très Haut y accorde tant d’importance. Toutes se mirent à chuchoter, espérant que l’une d’elles explique aux autres ce choix divin.

Mais Dieu tourna Sa voix en direction des créatures qui n’avaient pu Lui donner de réponse. Il leur dit: “Vous qui n’avez pas su me répondre, vous qui vous prétendiez Mes créatures préférées. Vos esprits ne seront plus des choses supérieures. Elles ne tendront plus vers Moi. Comme vous serez dorénavant soumis à l’humain, de part votre nature strictement matérielle, je vous prive du langage. Vous bêlerez, meuglerez, grognerez, siffloterez, miaulerez ou aboierez jusqu’à la fin des temps!”.

Puis, Dieu tourna Sa voix en direction de la créature qui avait affirmé la domination du fort sur le faible. Il lui dit: “Puisque tu es si sûre de ton choix, je te laisse l’occasion de le prouver. Tu conserveras ton esprit, mais ton corps sera fait d’ombre. Ainsi, tu vivra, seul, côtoyant les humains, jusqu’à ce que Je te délivre de ta peine. Ainsi, personne ne te verra et personne ne te nommera, car J’ai Moi-même décidé de ne pas le faire.”

Dieu tourna ensuite Sa voix en direction d’Oane et lui dit: “J’ai fait de ton espèce Mes enfants. Je fais maintenant de vos esprits des âmes. Elles se différencient des esprits des autres espèces en ce qu’elles resteront dorénavant les seules à être de nature supérieure, à tendre vers Ma divine perfection. Ainsi, je divise le temps en sept parties, appelées “jours”, afin qu’à chaque septième jour, toi et les tiens vous vous réunissiez pour honorer votre père: Moi.”

“Mais il faudra encore que, chaque jour, toi et les tiens fassiez perdurer votre espèce. A l’exception de celle que Je n’ai pas nommée, J’ai fais de toutes les créatures vos soumises. Ainsi, vous vous en nourrirez, sans qu’elles ne se nourrissent de vous. Ce pouvoir dont vous disposez de vous nourrir des autres espèces, Je le nomme “travail”. Mais, afin que vous n’oubliiez jamais que ce pouvoir est un don de Moi, vous récompensant ainsi de ta bonne réponse, Oane, le travail sera laborieux, difficile, usant et fatigant. Mais ne te plaints pas de la souffrance que cela te cause, car, en vérité, c’est un bien beau cadeau que Je te fais.”

“Afin que vous remplaciez par de nouvelles générations celles dont la vie se termine, je vous fais un cadeau bien plus beau encore. Cet amour que J’attend de vous, Je vous permet aussi de l’éprouver également envers vous, en couple. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera le but. Mais seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair, afin que votre espèce perdure dans Mon amour.”

Alors, Dieu créa deux astres au-dessus du monde. L’un, rayonnant de lumière, fut appelé “soleil”. L’autre, luisant froidement, fut nommé “lune”. Dieu expliqua à Oane: “Que votre fidélité soit celle des enfants envers leurs parents ou je serais aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Car, lorsque chacun de vous mourra, Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a mené. Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai, vivrons une éternité de bonheur. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaitront plus que la tourmente.”

Sont ici devant aujourd'hui devant nous pour s'unir par les liens sacrés du mariage.

Dame Domy et Messire Fabrizio

Par le mariage il s'engage à s'aimer , aimer Dieu , fonder une famille

Et maintenant, procédons à l’échange rituel devant Dieu tout puissant et bienveillant pour ceux qui s’aiment.

Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie. Ensemble vous devrez assurer la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez protéger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture.

Si quelqu'un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant sous le toit de cette église, ou se taise à jamais.

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La grande porte de la Cathédrale s'ouvra, deux soldats apparurent.

Ceux ci, tenant les deux portes ouvertes, laissaient entrer l'Archevêque.
Poltau arriva donc, et après un léger signe à ses gardes, pénétra dans ce Lieu Saint.

Bien en retard, l'Archevêque vit sa soeur en train d'officier.
De loin, il lui adressa un signe, discret.

Puis, il avança jusqu'au premier rang, afin de prendre place.

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Une fois arrivé au niveau du siège qu'il souhaitait prendre, l'Archevêque s'arreta.

Se tournant vers l'assistance, d'une voie forte et grave, il dit alors :

Oui, moi, j'ai quelque chose à dire !

Poltau s'avança alors vers l'autel...

Bigornéa fut surprise son Frère avait fait le déplacement jusque là , elle était super contente de le revoir

elle n'avait pas eu le temps de rien dire que celui ci dit d'une voie forte et grave

Oui, moi, j'ai quelque chose à dire !

Mon Frère c'est un honneur de te voir ici , je vous en prie que veux tu dire ?

un peu gênée Bigornéa se mis à rougir

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 05/02/2009

Poltau, arrivé aux cotés de sa Soeur, s'adressa alors encore à l'assistance :

Mes Enfants, vous êtes ici pour assister à une union officielle, une union d'Amour.

Alors, permettez moi, je vous prie, de faire une petite pause à celle ci, pour une autre geste.
Votre Archevêque, vous la connaissez, et je sais que vous l'appréciez.

Mais moi aussi je la connais, et je l'apprécie, car c'est ma Soeur.
Et là, en parlant d'amour, j'ai terriblement envi de la prendre dans mes bras, car avec nos fonctions, nous ne pouvons nous croiser que rarement.

Me permettez vous ceci Capitaine Fabrizio et Dame Domy ?

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Delpherion, qui malgré le fait qu'il ne soit pas religieux pour un sou, s'était agenouillé comme tout le reste de l'assistance, sursauta en entendant la voix claire s'élever alors que rien n'aurait du perturber la cérémonie, surtout pas à ce moment.
Il leva les yeux et jeta un regard à l'emetteur de cette voix. Aucun doute n'était possible, il portait la toge que le ménestrel avait vu plusieurs fois, cet homme était un religieux, haut placé qui plus est.
Qui était cet olibrius ? Religieux ou pas, l'affreux s'était permis d'interrompre la cérémonie...De quel Droit ?!

Delpherion sursauta en entendant sa raison. Nan mais pour qui se prenait il ? il pouvait très bien faire ça en privé !
Il regarda le bonhomme en rouge avec indignation mêlée de tout son mépris envers la gent religieuse...

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L'arrivée de l'archevêque pétrifia Domy qui fut prise d'un tremblement irrépressible.
Mais qu'allait il dire???Que signifiait cette annonce ?

Domy écouta la suite en serrant ses mains l'une contre l'autre,angoissée comme jamais.

Elle poussa un soupir de soulagement en entendant la déclaration de l'archevêque et un grand sourire éclaira son visage.

Instinctivement aux paroles dans son dos ,venant à lui tandis qu'un homme qu'il ne pouvait encore voir se fit remarquer.

Fabrizio donc rentra son cou dans ses épaules, tâta le pommeau de son épée et puis du coin de l'œil vit Monseigneur Polteau venir à eux et continuant de s'adresser à tous et particulièrement à eux.

Alors levant la teste, Fabrizio prit le temps de les regardé tour à tour en souriant, rassuré puis jetant un coup d'œil à sa Domy ,il prit soin de détendre ses mains et dans un souffle ,Fabrizio lui répondit.

Monseigneur ,ici c'est le lieu de la connaissance, de l'amour et du partage;Alors qu'il en soit ainsi .

Prenez là dans vos bras et faite voir ainsi l'amour fraternel qui vous unis.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 05/02/2009

Timonstre arriva rapidement à l'église... elle accusait un retard et cela la gênait beaucoup... elle avait revêtu ses plus beaux vêtements... c'était un grand jour... c'était le mariage d'un ami de longue date... la petite Kéa qui trottinait à ses côtés et Marion dans les bras de sa mère... Timonstre tenait la main de son cher époux et tous allèrent rapidement prendre place dans l'assistance... Elle espéra qu'ils n'aient guère dérangé le cours des choses... quand elle remarqua alors l'archevêque Poltau... elle l'avait déjà rencontré du temps qu'elle habitait Dieppe... et toute la Normandie le connaissait d'ailleurs... elle affichait un magnifique sourire et écouta avec attention ce qui arrivait...

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 05/02/2009

L'Archevêque Métropolitain de Tours avait bien senti l'angoisse qu'il avait fait peser, mais il aimait faire cela.

Il se permetta de prendre sa Soeur dans ses bras, tendrement, comme doit le faire un frère.
Tout doucement, il lui murmura :

Tu es ma Soeur, tu m'a manqué.

Puis, se tournant vers le Capitaine Fabrizio et Dame Domy :

Mes Enfants, je sais que vous vous aimez.
L'amour est très fort, et je vous souhaite tout le bonheur possible.
Dame Domy, le Capitaine Fabrizio, votre futur époux, est un homme remarquable.
Il a assuré et assumé mon escorte lors d'un de mes nombreux déplacements.
De ma vie dépendait la sienne, et pour cela, je l'en remercie, devant vous, et devant toute l'assemblée ici présente.

Alors, je vous présente mes respects, et je vous souhaite une vie heureuse et pleine de bonheur.

Par respect pour la cérémonie, Poltau se recula d'un pas, afin de permettre à sa Soeur, l'Archevêque Bigornéa, la poursuite de cette union.

Bigornéa se retrouva dans les bras de son Frère, elle qui était toujours très émotive ne pu s'empêcher de verser une larme, elle le serra très fort dans ses bras et lui chuchotta

T'es un sacré numéro quand même, regarde dans quel état je suis maintenant.. et je dois finir la cérémonie!

Bigornéa sortie un petit mouchoir de sa poche , essuya ses larmes , et se moucha
grumfffff

Excusez moi mes enfants
Cela n'était pas prévu, je ne savais pas que Monseigneur Poltau arriverai à se déplacer jusque dans les Flandres

Après un instant de silence.....si on peut dire ainsi
Bigornéa reprend, à l'attention du futur marié

Vous, Messire Fabrizio consentez-vous librement à prendre pour épouse Dame Domy ,ici présente, en promettant de l’aimer et de la chérir dans le bonheur et dans le malheur, de lui jurer fidélité et de la protéger, pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort vous sépare ?

La regardant en face ,Fabrizio dit encore à voix haute et forte mais un trémolo dans sa voix.

Moi..Fabrizio consent à prendre pour époux Dame Dom, ici présente à mes côtés.
En promettant de l'aimer et de la chérir.

Puis portant un regard vers elle et la regardant avec un immense sourire , il continua.

Dans le bonheur et dans le malheur...De lui jurer fidélité et de la protégé.Pour le meilleur et le pire.
Puis fouillant de son regard l'âme de ses yeux il dit tous bas vers elle, comme un souffle léger.

Et ce jusqu'à que la mort nous sépares.

La cérémonie venait de commencer, les futurs mariés était très élégant, tout ce passé très bien...

Soudain l'arrivée de Monseigneur Polteau l'inquiéta, mais quand Fabrizio se mit à sourire, joie comprend très vite que tout aller bien se passer.

L'émotion commençait à monter, les paroles de l'archevêque Bigornéa et l'archevêque Polteau était très touchante, joie écoutait la suite de la cérémonie dans le silence...

oli avait voyagé longtemps pour arriver jusque ici... fatigué, mais content d'estre là.

les flandres, les souvenirs du passé..... et son ami fabrizio.... depuis si longtemps...

arrivé enfin aux portes de la cathédrale st sauveur, oli essaya de rentrer aussi discrètement que possible, et chercha sa filleule des yeux. La cathédrale était bondée... dur de retrouver quelqu'un dans cette foule..... deux gardes surveillaient l'entrée, et le toisaient .... oli les regarda l'un aprés l'autre, tapota sur son mantel pour y enlever l'excédent de poussière, et sans autre protocole entra dans la cathédrale.

la cérémonie, était déjà bien avancée, et les consentements allaient estre prononcés.
bien sagement, il écouta...

mazette !!...se refuse rien le fab!...deux archevèques pour son mariage?!... se dit il...

Fatiguée par le voyage, Maltea se préparait plus lentement qu’à l’accoutumée. La jeune servante de l’auberge où elle s’était installée pour la circonstance avait tenu à l’aider pour enfiler sa robe et la coiffer.
Elle pensait à richard qui était resté en champagne avec sa fille et le fils de sa sœur qui était décédée récemment. Elle trouverait bien un cavalier pour la réception qui suivrait la cérémonie.

Elle profiterait de ce voyage dans les Flandres pour se rendre sur le chemin du retour sur ses terres artésiennes. Elle n’avait point encore eu le temps d’y passer et devait réorganiser le château. Elle comptait s’y installer prochainement, désireuse de quitter un duché qui se mourrait.

Une fois coiffée et vêtue, elle prit sa cape et se fit déposer à l’endroit où avait lieu le mariage.
Elle admira l’Eglise avant d’y pénétrer et de s’installer. Elle vit les futurs mariés et les salua d’un signe de tête agrémenté d’un sourire.
Ils étaient tous deux magnifiques… dire que dans un peu plus d’une semaine, elle serait dans le même cas qu’eux. Elle en tremblait d’avance. Elle ne pourrait plus faire comme la dernière et fuir, et puis elle aimait son fiancé, c’était le mariage en lui-même qui lui faisait peur.

Elle admira la nef, la décoration, les vitraux et trouva cette Eglise aussi belle à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Elle avait hâte que la cérémonie commence. Pour une fois elle resterait attentive, prenant des notes afin de ne pas commettre de bourde la semaine prochaine.

La cérémonie commença enfin, Maltea écoutait religieusement. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’un archevêque entra et interrompit la cérémonie. Elle frissonna mais ce fut de courte durée. Cet homme n’était pas là pour empêcher l’union mais juste pour embrasser sa sœur qui officiait. Le soulagement était palpable dans l’église. La cérémonie pouvait continuer ce sue l'officiante fit rapidement.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 20/01/2009

Frédéric assit à la gauche de Choupi avait vu rentrer le couple formé par Domy et le capitaine Fabrizio. Comme ils allaient bien ensemble ! Que de prestance et de charisme pour Fabrizio ! Et que de beauté et de douceur pour la future mariée Domy !

La cérémonie commença, les futurs époux agenouillés. Quand on entendit une voix retentir. Monseigneur Poltau faisait son entrée interrompant le mariage.
Frédéric n'en revenait pas. Il fut stupéfait puis amusé de l'intermède de l'homme d'église. Un homme qui était reconnaissant de la protection qu'il avait eu du capitaine lors d'un de ses voyages. Cela faisait plaisir à entendre et chaud au coeur.

Puis l'archevêque reprit le cours de la cérémonie. Ce fut l'échange des consentements.
Frédéric sentit la main de Choupi frémir dans la sienne. Il tourna la tête vers elle et la vit très émue qui ne quittait pas des yeux son amie Domy.
Il porta la main à ses lèvres et l'effleura. Puis il se pencha légèrement vers elle et lui chuchota :
Bientôt......

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